COMMUNE DE
Santa Maria Poghju

Enchâssée dans un somptueux écrin de verdure, Santa Maria Poghju s'offre au soleil de la plaine orientale comme un pur joyau de la Costa Verde. A tout jamais partagée entre ses deux horizons, la mer et la montagne, elle est le fruit de cette alliance à priori contradictoire.Au temps des romains sur le site du port actuel au lieu dit TAVERNA, un relais de poste impérial doté de thermes assurait déjà l'accueil des voyageurs.   Placée sous l'invocation de SANTA MARIA, l'antique Pieve qui assurait la continuité administrative et religieuse de l'antiquité au Moyen Age inclus, est résolument fille de la plaine et des grands domaines cultivés. Ce n'est qu'au 16ème siècle, sous la pression des invasions barbares, qu'elle remonte vers les hauteurs pour se fixer sur son promontoire « U Poghju » qui donne aujourd'hui son nom à la co...

La commune a décidé de se doter d’armoiries en 1982, à l’occasion du jumelage avec SARE, ville du Pays Basque (Pyrénée Atlantique). Une consultation a été lancée auprès de la population.   ...

le roi Théodore de Neuhoff au village de Poghju Au cours de son règne éphémère, le roi Théodore de Neuhoff a séjourné quelques jours au village de Poghju, dans une grande bâtisse dressée au centre du village. En souvenir de ce séjour, celle ci garde encore aujourd'hui le nom de « Palazzu Reale », le Palais Royal.   ...

Découvrez les noms des Maires qui se sont succédés depuis 1810, à Santa Maria Poghju et téléchargez, en bas de page, un document datant de 1806. De 1810 à 1908 ·    1810 à 1815 : CONTRI Paul Dominique ·    1816 à août 1821 : POGGI Don Giovanni ·    Août 1821 à janvier 1826 : GRIMALDI Don Philippo ·    Janvier 1826 à août 1831 : POGGI Don Marie ·    Août 1831 à janvier 1837 : POMPEI Dominique ·    Janvier 1837 à août 1848 : GRIMALDI Don Philippo ·    Août 1848 à mars 1849 : POGGI François ·    Avril 1849 à juillet 1852 : ORSINI Vitale ·    Août 1852 à aoû...

A l'entrée du village de Poghju se trouve la fontaine de Serpentina construite en 1910 grâce à un généreux donateur, M. Agostini. Sur la plaque en marbre qui y est apposée, on peut y lire :  « Non merito di nascere chi vive solo per sè » (« Ne mérite pas de naître celui qui ne vit que pour lui ») Cette maxime a été reprise par la municipalité, qui en a fait la devise de la commune.   ...